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Allaitement, les 6 premières semaines sont les plus difficiles

Dès que j’ai appris que j’étais enceinte, j’ai su que je voulais essayer d’allaiter.

Mais si ça ne fonctionnait pas, donner du lait commercial restait une option pour moi.

Mon conjoint et moi avons participé aux cours prénataux offerts par le CLSC de notre région. Le premier cours était consacré à l’allaitement, les bienfaits, positions, conseils pour bien réussir…

Suite à ce premier cours, l’allaitement n’était plus une option, j’allais allaiter mon enfant et peu importe les difficultés j’allais réussir!


La plupart des personnes me disait que l’allaitement était difficile et que je n’allais peut-être pas réussir, donc je me préparer quand même à l’idée que ça ne fonctionne pas.


Un jour une amie m’a dit, « laisse toi les 6 premières semaines avant d’abandonner, ce sont les plus difficiles, par la suite ça ira mieux. » Cette phrase fut d’une importance incroyable, je me la suis tellement répétée. Mon conjoint et moi avions un “plan de match”. Il devait m’encourager de ne pas lâcher pendant les 6 premières semaines.


Nos débuts n’ont pas été faciles, ma fille est née avec un plus petit poids que la moyenne, j’avais donc de la pression pour qu’elle prenne du poids. Les premières semaines, mes journées se résumaient à allaiter et tirer mon lait.

J’ai pris des produits naturels, j’ai fait la technique du « power pumping » et finalement à 5 semaines j’ai dû me rendre à l’évidence, j’avais besoin de médication pour augmenter ma production de lait. Ce fut la solution miracle pour nous!


Finalement, malgré les embûches du départ j’ai réussi et j’en suis très fière.

Lors de mon parcours dans cette magnifique aventure, j’ai été très chanceuse de côtoyer des professionnels qui m’ont aidé à trouver des solutions et ne m’ont jamais donné l’option d’abandonner.





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